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première victime

Episode N.2 :

Marie sortit de cours une heure plus tôt. Elle se rendit immediatement à la librairie pour voir son Patron, Pierre,  car c'était la fin du mois. Elle entra dans la boutique, et le chercha dans la salle commune, dans le petit salon des vendeurs, dans la "salle de lecture"...personne !
Elle se dit que c'était bizarre, qu'il ne soit pas là, un vendredi, et de plus en fin de mois, car c'était un homme très net, Il n'a jamais eu de retard pour le salaire de ses employés.
Elle s'assis a la caisse, et se dit que peut-être il est aller faire un tour. Elle joua un moment avec la caisse, comme a son habitude. Jusqu'au moment ou dans celle-ci, elle découvrit un petit Papier avec écrit dessus : " Marie, rejoins-moi chez moi. Pierre. "
Elle commença a s'inquiéter car, jamais auparavant Pierre, ne lui demanda de venir chez lui. Et pourquoi a t-il mis ce papier dans la caisse ?
Elle prit ses affaires, laissa un mot expliquant a Tuo ce qu'elle allait faire et se rendit chez son patron.
arrivée, au bas de l'immeuble abîmé, elle chercha en vain la sonnette., Elle se décida quand même a entrer.
Elle suivit l'escalier qui mena au seul et unique étage, là où habitait Pierre. Une étrange sensation lui parcourue le long du corps.
Pendant ce temps, Tuo sortait de ses cours et ne s'arrêta pas à la boutique. Il fonça d'abord chez lui, posa ses affaires, et resortit avec un autre sac. Il prit la direction de la Rue du Poisson Mort. Une longue rue, où habitait des gens sans grands moyens financiers, seuls des immeubles en très mauvais états étaient visibles.
Alors que Marie s'apprêtait a sonner chez Mr Pierre, un étrange bruit se fit entendre en bas. Elle se pencha et ne distingua qu'une simple ombre. Elle prit peur et sonna, sonna, sonna, en vain. Personne ne répondait. Elle n'osait pas bouger. Elle espérait que Tuo lirait le mot et qu'il viendrai.
Elle entendit des pas derrière la porte de Mr Pierre. Des pas lourds, résonnants. La porte s'entrouvit. Elle appela d'une petite voix :
-" Monsieur...Meu...nier ? Pi..erre ? Vous..êtes euh..là ?
La voix d'un autre lui répondit :
- Il sera absent pendant un bon moment. Venez donc, entrez !
- Tuo ? demanda Marie
- ..."
Après le silence se fit entendre un bruit désagréable, une charge lourde traînée au sol. Après une hésitation, elle ouvrit la porte et entra. Elle vit une horloge sur pied, arrétée. Pourquoi l'horloge est-elle arrétée à...14h02 ? Elle consultat sa montre, il était 15h10.
Elle s'apperçut que l'appartement sentait affreusement la Javel. C'était une odeur qu'elle ne supportait pas.
Soudain la voix dit :
- " Tu n'aimes pas cette odeur n'est-ce pas ?
- Co..comment savez-vous ?
- Cela fais plusieur mois que je te surveille. Je connais tout de toi. Même la marque de tes tampons Hygiéniques.
- Qui êtes vous ?
- Réfléchi petite sotte !"
Elle s'avança vers le salon où été dréssé un couvers avec des chandelles. et Juste devant la télé, un fauteuil apparement vide de dos. Elle demanda :
-" Qu'est-ce que c'est que ça ? Pourquoi suis-je ici ?
- Tu es là, parce que je voulais que tu sois là. Je fini ce que j'ai à faire et on dîne.
- QUI ÊTES-VOUS ?" cria t-elle
C'est alors qu'une silhouette apparut en contre jour. Elle reconnut Tuo.
Elle poussa un cri étouffé.
-"Surprise-Surprise !" ricana t-il
Il s'approcha du fauteuil le tourna vers Marie.
Elle y vit, le corps de Pierre.
Elle poussa un cri, térrifiée.
Tuo prit son couteau et le planta une dizaine de fois dans le corps innert de Pierre, celui-ci étant déjà mort.
Marie, supplia Tuo d'arrêter, chose qu'il fit.Il s'approcha de Marie, l'embrassa de force, la toucha avec ses mains pleines de sang. Elle se débattit et attrapa le couteau pour se défendre. Il recula. Elle se dirigea vers le téléphone, mais celui-ci fut coupé. Il se jetta sur elle sur un moment d'inadvertance. Il lui lia les pieds et les mains à une chaise.
Elle lui demanda en pleurant :
- " Pourquoi moi ? qu'ai-je fais ? Depuis quand m'observes-tu ?
- Depuis longtemps...2ans que je te suis partout. Tu ne m'as rien fais particulièrement. Mais je connais tout de toi. En tous cas assez pour savoir que tu joue avec la caisse. Que tu emprunte des livres gratuitement. Que tu te ronges les ongles, que tu es si belle sous la douch...
- Arrête !  tu es malade ! Va te faire soigné !"
Il prit un bout de tissus et la baillonna.

Ecrit par Annais, le Mardi 27 Juillet 2004, 17:07 dans la rubrique voeux.

Commentaires :

Blandine
Blandine
27-07-04 à 17:35

Coucou!


 
Blandine
Blandine
27-07-04 à 17:36

Sache que j'attend avec impatience la suite !!!

Biz, Blandine.

PS dsl pour le premier commentaire, c'est une erreur.


 
Annais
Annais
27-07-04 à 17:43

Re:

d'accord Blandine :) Merci

 
Samhradh
Samhradh
30-07-04 à 09:00

génial

beaucoup beaucoup mieux que le premier épisode!  ça devient très interessant... j'attends la suite avec impatience :) :) bravo !

ps: ptin j'aurais pas cru ça d eTuo iol avait l'air si posé si charmant.... bref il ne faut pas se fier aux apparences ;)


 
Annais
Annais
30-07-04 à 12:10

Re: génial

c'est ce que je voulais faire passer. Ne jamais se fier aux apparence que quelqu'un vous donne. Il est peut-être pas celui qu'on croît.

 
ARTUR
ARTUR
30-07-04 à 12:40

GENIAL

<p>Oui effectivement c'est pas mal. Mais je trouve que le styule dans une telle histoire est peut etre un peu maladroit. En effet, on sait tout. Je pense que ce texte manque un peu de suspense, peut être aurait tu du marier les deux pour obtenir un effet original de ping pong qui donnerait alors au lecteur un sentiment de vertige litteraire. Il se sentirait pomé et au moment ou il penserait tout savoir, toi l'auteur tu retournerai ta veste et blan!!! Tu vois un peu le truc que j'essaie de te faire passer? A l'occasion si tu a  un peu de temps lis un auteur américain qui se nomme WILLIAM IRISH. C'est un peu ce qui manque dans cet  texte en tout cas car le précedent que j'ai lu était meilleur!!! </p><p>Ainsi, quand tu dit qu'elle s'amuse avec la caisse et qu'elle trouve le mot, c'est trop brutal. Et on a pas le coup du tiroir qui s'ouvre. Je sais ca peut sembler classique, mais si tu veu garder une coherence dans ton texte alors il faudrait modifier dans ce sens ou décire la caisse et faire comprendre au lecteur qu'elle est ancienne et que le tiroir en est cassé et transposer alors le suspense sur le moment de l'ouverture (par exemple) du mot. </p><p>Aussi un dernier truc, par exemple je trouve cette fin de phrase plus sympa et beaucoup moins maladroite que celle que tu as écrite: "jamais en retard pour le salaire de ses employés" Ca racourci la phrase et donne de ce fait cette affirmation comme une évidence au lecteur, laissant presager que quelque hose ne va pas.</p><p>Voili voila!!! Je te renouvelle mes compliments pour ton don et t'enourage à écrire, dieu sait si ca fait du bien!!!! BRAVO ET PERSEVERE...note pour CE TEXTE 5/10 EST CAPABLE DE FAIRE BEAUCOUP MIEUX CAR L'INTRIGUE EST EXTRA...!!!!!!</p>